Résidences dans les territoires

Des immersions, du terrain, des rencontres et de la création. 

Pour donner à vivre et à rêver des lieux et des histoires de vie.

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DE L’EXPLORATION AU PARTAGE DES MORCEAUX DE RÉALITÉS

Nous envisageons nos résidences de territoire comme des explorations de réalités,
à donner à vivre, à danser, à voir et à écouter.

 

L’exploration du terrain

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La première phase de l’aventure est un travail d’infusion sur un terrain défini, une exploration des paysages (urbains et naturels), des habitant·e·s qui les peuplent, et des “choses” qui les préoccupent. Il s’agit là d’un temps pour s’imprégner, rencontrer, échanger, repérer, comprendre, recueillir, sentir.

Flore s’attelle ici à recueillir les paroles et à mettre des premiers mots sur des sensations et des intuitions.

Fanny explore les lieux et déniche les espaces insolites que le corps chorégraphié pourra habiter.

 

Les temps de création

S’ensuit un travail de création à partir de la matière récoltée. Le corps de Fanny et les mots de Flore se mettent en mouvement et commencent à tricoter ensemble la poésie.

En fonction des besoins et du temps imparti, nous opérons des allers-retours entre l’exploration du terrain et les temps de création.

Parfois, il est intéressant que les moments de création aient lieu sur place.

 

Les dialogues du corps et de la voix

Par l’écriture, le slam et le chant, Flore cherche à faire résonner la parole des personnes rencontrées, à rendre palpable une réalité méconnue, ou encore à poser des mots et les pieds dans le plat d’un conflit qui demande à être détricoté.

Fanny, par la danse, cherche à habiter un lieu, à le faire vivre autrement, à le dévoiler sous un autre jour. Aussi, le corps vient faire sentir ce que les mots peinent parfois à dire.

Par le dialogue du corps et de la voix naît une poésie, des petites formes de danse, de slam et de chant. Ensemble, les mots et le corps font exister des morceaux de réalités, à partager.

 

Les temps du partage

Les petites formes de danse et de slam une fois créées ont vocation à être partagées, devant le public directement concerné, sur place, lors de différentes occasions (vernissages, débats, fête, balades…). Nous pouvons ici coopérer avec différents acteurs/trices : facilitateurs/trices de débats, guides d’espaces spécifiques, conférencier·e·s, chercheur·e·s·, associations militantes…

Les petites forment peuvent aussi être transportées ailleurs, pour être partagées plus largement ; les morceaux de réalités peuvent alors voyager jusqu’aux yeux et aux oreilles d’inconnu·e·s.

Egalement, certaines petites formes ont vocation a devenir des court documentaire de création (voir le court-métrage “j’ai pas l’droit d’m’arrêter” dans le cadre de la Résidence en milieu agricole “Cultures plein champ”), un objet vidéo à partager d’une autre manière encore.

 

EXEMPLE DE RÉSIDENCE :

 

Notre désir : explorer de nouveaux terrains.
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